Valorisation, accès, réussite académique et employabilité

La fracture numérique doit être identifiée au cas par cas et la manière de relier ces besoins pour favoriser une éducation qui garantisse également des emplois. Une culture de la numérisation de l’éducation est nécessaire. La numérisation n’est pas seulement quelque chose de pertinent et d’utile face à la pandémie, mais plutôt quelque chose qui doit rester pérenne afin d’améliorer la qualité de l’éducation.

Malheureusement, les personnes qui se lancent dans des carrières techniques et technologiques ont généralement des salaires plus bas et moins de chances de bénéficier d’une protection sociale, ce qui reproduit une chaîne d’inégalités.

Il est essentiel de bien communiquer sur les services offerts dans les institutions de formation à travers des outils qui atteignent les élèves afin qu’ils ou elles profitent de ces services au besoin.

Étant donné qu’il existe un fossé générationnel entre les enseignant.e.s et les étudiant.e.s, qui sont plus jeunes et plus adapté.e.s à l’utilisation des nouvelles technologies, il est recommandé que la formation soit plus permanente et que des compétences pour générer des apprentissages avec ces technologies soient développées pour le personnel enseignant et administratif.

Il est nécessaire de se demander comment l’éducation conduit réellement à la garantie du droit au travail et pas seulement à de simples politiques d’emploi associées à des emplois précaires.

Développer une offre de formation différenciée et orientée vers les talents et les capacités des étudiant.e.s et des enseignant.e.s. Cela permet de développer et de créer de nouveaux programmes de formation en fonction des besoins stratégiques du territoire et du secteur productif.

Approfondir les indicateurs de suivi des services aux étudiant.e.s afin de pouvoir mesurer concrètement les enjeux de rétention d’emploi et de satisfaction des étudiant.e.s.